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Abi, Australie : « Ma vie était remplie de choses, mais je n'étais pas pleinement heureuse. »

Abi a grandi à Perth, en Australie occidentale. Là-bas, elle a étudié la pathologie et la médecine, et s'est investie dans de nombreux loisirs qui, cependant, ne la comblaient pas complètement : « J'avais tout ce temps, tout cet argent et toutes ces opportunités. Mais j'avais l'impression de perdre mon temps... enfin, pas mon temps, mais ma vie ! »

Mon histoire

Mariana, Argentine : «J’ai connu l’Opus Dei grâce à une personne qui n’a pas continué dans l’Œuvre»

Mariana est originaire de la province de Buenos Aires, mais elle a vécu pendant 13 ans dans trois pays d’Europe : « J’ai rencontré un grand nombre de personnes aux mentalités et aux façons d’être très diverses », affirme-t-elle. « Cela m’a permis d’apprendre d’autres modes de vie et d’élargir ma perspective. » Son choix de vie en tant que numéraire auxiliaire de l’Opus Dei lui a également permis de rencontrer encore plus de personnes et de faire une place dans son cœur à beaucoup d’autres.

Mon histoire

Shiró, Kenya : "Aucun homme n'est une île... Nous avons besoin les uns des autres."

Shiró est heureuse d'être entourée de gens : « J'ai besoin des autres, et sentir qu'ils ont besoin de moi me pousse à donner le meilleur de moi-même. » Cette ouverture l’a conduite à commencer des études liées à la santé, puis à l’hôtellerie et à la restauration dans son pays, le Kenya. Elle a également lancé une initiative sociale pour aider les enfants des rues. Toutes ces expériences l’ont confirmée dans sa vocation à l’Opus Dei en tant que numéraire auxiliaire.

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Laura, Espagne : "J'ai été numéraire pendant 25 ans. Je ne considère pas ces années comme perdues."

Laura, médecin à Barcelone, a été numéraire de l’Opus Dei pendant 25 ans. En 2020, après un long processus de réflexion, elle a décidé de quitter l’Œuvre. « Le bilan est positif, sans aucun doute. Je ne considère absolument pas que ce soient des années perdues », affirme-t-elle, soulignant la formation qu’elle a reçue, le fait d’avoir rencontré énormément de personnes et d’avoir appris à vivre les vertus avec naturel.

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Heloiza, Brésil : « J’ai trouvé dans la gastronomie une façon de servir et de créer du lien avec les autres. »

Heloiza est numéraire auxiliaire de l'Opus Dei depuis 34 ans. Née à Lorena, elle a déménagé à São José dos Campos avec sa mère après l’assassinat de son père lors d’un vol, alors qu’elle avait 10 ans. Sa vie a été marquée par d’autres épreuves, comme la maladie. Passionnée de pâtisserie, elle a lancé son entreprise "By Chef Helô" pendant la pandémie. Son histoire est un véritable témoignage de résilience.

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Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."

Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.

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Sandra, Espagne : "J'ai vécu 22 ans convaincue que Dieu n'existait pas"

Sandra n'avait pas la foi lorsqu'elle a mis les pieds pour la première fois dans un centre de l'Œuvre, où elle était invitée par une amie. Aujourd'hui, quinze ans plus tard, elle est agrégée et raconte le processus de sa rencontre avec Dieu, en qui elle a vu un Père.

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Ale, Bolivie : « J'ai pensé à ces moments où j'avais été heureuse, et je me suis souvenue de mes années à l'Opus Dei. »

Ale est une Bolivienne, mère de deux enfants, psychothérapeute et médecin. Elle a consacré une grande partie de sa vie au service social. Inspirée par l'enseignement de saint Josemaría, elle a compris que la pauvreté n'est pas seulement matérielle, mais aussi un manque d'amour et de Dieu. Avec son mari, elle a choisi de se consacrer à la réhabilitation sociale. À la mort de celui-ci dans un accident, elle a compris qu'elle devait poursuivre, soutenue par sa foi.

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Maria José de los Angeles, Espagne: "J'ai découvert le sens de chaque décision difficile et j'en suis reconnaissante"

Mª José a été agrégée de l'Opus Dei pendant 20 ans et elle a quitté l'Œuvre il y a environ cinq ans. « Bien que cette décision ait été très douloureuse, j'ai été très accompagnée et, bien sûr, très libre. Comme il est beau de penser que chaque vocation a une mission qui transcende le cours du temps », dit-elle.

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Maria Angeles, Espagne: "Je regarde un peu en arrière et je vois que j'ai une vie bien remplie "

Mª Angeles a connu l'Opus Dei par hasard, lorsqu'un professeur de son lycée lui a parlé de la possibilité de vivre dans un Centre d'étude et de travail (CET). Elle y a surtout appris trois choses : « D'abord, à concilier études et travail, à mieux utiliser mon temps, car à la maison, je ne faisais pas grand chose. Ensuite, cela m'a aidée à connaître la vie chrétienne, vécue de manière cohérente. Et la troisième chose, qui a favorisé plus tard la découverte de ma vocation, connaître l'Opus Dei de l'intérieur

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