
Tempérance
Nous suivons ci-dessous les considérations du chapitre Tempérance du livre de F. Fernández Carvajal, "Il est passé en faisant le bien", Palabra, 2016.
Nous suivons ci-dessous les considérations du chapitre Tempérance du livre de F. Fernández Carvajal, "Il est passé en faisant le bien", Palabra, 2016.
La prudence est la vertu qui permet à l'esprit de discerner en toute circonstance quel est notre vrai bien et de choisir les moyens de le faire.
L'une des questions fréquemment posées est : que dois-je à Dieu ? La réponse est très simple : nous lui devons tout.
Être fort d'esprit aide à supporter les difficultés et à surmonter nos limites. Pour les chrétiens, le Christ est l'exemple pour vivre une vertu qui ouvre la porte à beaucoup d'autres.
La vie courante et ordinaire que nous, les chrétiens, voulons sanctifier, est entremêlée de faits et de situations apparemment sans relief, de relations habituelles et de coutumes répétitives qui pourraient facilement déboucher sur une existence routinière et superficielle.
« Soyez toujours dans la joie du Seigneur ; je le redis : soyez dans la joie » (Ph 4, 4) exhorte saint Paul, pour rappeler aux chrétiens de Philippes qu'« ils ont leur citoyenneté dans les cieux » (Ph 3, 20).
« Venez à moi car je suis doux et humble de cœur ». Dieu s'est fait petit pour que nous puissions être grands, de la vraie grandeur, l'humilité de cœur
Médire, critiquer ou répandre des rumeurs peut être l'occasion d'un grave manque de charité. Cet éditorial fait écho à l'invitation du pape François à ne pas parler le « langage de l'hypocrisie ».
Jésus Christ, image du visage miséricordieux du Père et modèle des chrétiens, est la meilleure représentation de ce qu'est un ami. Nous vous proposons ci-dessous un extrait du chapitre Amitié I du livre de F. FERNÁNDEZ CARVAJAL, Pasó haciendo el bien, Madrid, Palabra 2016.
Sourire parce que Dieu sourit, sourire parce que je suis risible avec mes défauts, sourire parce que les autres en ont besoin. Tels sont les trois sourires qui doivent caractériser un chrétien.
« La crise du coronavirus n'est pas seulement sanitaire. Elle est aussi, bien souvent, morale. Par sa gravité, elle sonde les raisons de vivre. Comment mieux l'assumer ? » Telle est la question posée par l’abbé Pégourier dans cet article.
La courtoisie, l’affabilité, la politesse et des vertus analogues sont les sœurs cadettes d’autres vertus plus importantes. Et la famille est le lieu où l'on apprend le mieux, quel que soit son âge.