Opus Dei

Mon nom est Quentin, j’ai 22 ans. J’étudie à Louvain-la-Neuve et j’habite à la résidence universitaire Bauloy. Avant le blocus, je m’empresse de vous livrer mes impressions de l’année (presque) écoulée.

Une coopératrice n’est pas membre de l’Opus Dei, mais en apprécie l’esprit et les actions. Elle aide de différentes manières. Odile nous raconte son histoire qui a débuté par une annonce à Pôle Emploi.

Catlyne, anversoise, mère de trois enfants et grand-mère de sept petits-enfants, ancienne conseillère communale à Schilde, nous explique comment elle vit l’esprit de l’Opus Dei au jour le jour.

Joana est économiste et fonctionnaire à la Commission Européenne. Mariée et mère de huit enfants, elle habite en Belgique depuis plus de vingt ans.

Oriane est infirmière, mariée, mère de cinq enfants, et membre de l’Opus Dei. Elle nous explique quelle a été la place du pape Jean-Paul II dans son parcours spirituel et sa vocation.

Des jeunes de plusieurs pays nous parlent de leur volonté de vivre leur foi, et de la transmettre. En d'autres mots, ils nous parlent d'apostolat.

Voici le témoignage de Véronique, licenciée en droit, mariée, mère de six enfants, habitant le Brabant Wallon. Elle est membre surnuméraire de l’Opus Dei.

Adrian Muresan et sa femme sont roumains, et coopérateurs de l'Opus Dei. Ils sont arrivés à Madrid en 2000 pour y trouver du travail.

Depuis plusieurs décennies, l’Opus Dei admet des juifs en tant que coopérateurs. Samuel Camhi Levy fut l'un d'eux.

Elizabeth et Christian ont 5 enfants. Ils nous expliquent chacun à leur façon, pourquoi ils ont voulu faire partie de l'Opus Dei. Ici, Elisabeth témoigne.