Opus Dei

Un médecin demande à saint Josémaria comment éviter la routine dans le travail. La réponse: avoir "une âme sacerdotale", faire en sorte que les patients se rapprochent de Dieu.

Saint Josémaria parlait du contact direct que le Seigneur veut avoir avec nous : il aime que nous lui parlions de nos affaires. Comment ? Comme le font ceux qui s'aiment bien.

Josémaria Escriva reçut Jésus pour la première fois le 23 avril 1912. Voici comment il se prépara à cet événement.

Quand je vous parle de la douleur, ce n’est pas simple théorie. Et le ne me contente pas non plus de faire appel à l’expérience des autres, quand je vous affirme: si, face à la réalité de la souffrance, vous sentez parfois votre âme vaciller, il n’y a qu’un remède: regarder le Christ.

« Comme toute fête chrétienne, celle que nous célébrons aujourd’hui est, avant tout, une fête de paix. [...] Mais regardons aussi le monde: pourquoi n’y a-t-il pas de paix sur la terre? ». Saint Josémaria se pose cette question dans son homélie du 4 avril 1971, Dimanche des Rameaux.

Saint Josémaria nous rappelle que le secret de la vie chrétienne consiste à vivre de la vie du Christ. Aussi, la méditait-il. Voici le lien avec son ouvrage Chemin de Croix, très utile à ceux qui tiennent à le parcourir avec le Seigneur.

Le 7 juillet 1974, à Santiago du Chili, saint Josémaria, fondateur de l'Opus Dei, s'adressant à des jeunes filles, évoqua les saintes femmes dont parle l'Évangile.

Maladie, soucis familiaux, économiques, brouilles passagères ou tristesse prolongée. Les mauvais « quarts d’heure » font partie de notre vie, sont-ils sanctifiables ? Sont-ils une chance ou un écueil dans la vie du chrétien ?

As-tu remarqué l’éclat du regard de Jésus lorsque la pauvre veuve dépose sa petite obole dans le tronc du temple? — Donne-lui ce que tu peux : ce n’est ni petite ni la grande quantité qui ont du mérite mais l’esprit avec lequel tu donnes. Chemin, 829

Saint Josémaria conseillait ce qu’il s’appliquait lui même à vivre: ajouter “la croix à chaque plat”, se priver par amour de quelque chose à chaque repas : retarder son verre d’eau, prendre un peu moins de ce qui lui en disait le plus et un peu moins de ce qu’il n’aimait pas tellement.