Dévotion à saint Josémaria en Italie
Saint Josémaria voulut installer à Rome son propre foyer depuis 1946 et jusqu’à la fin de sa vie, en 1975. Il voulait habiter la Ville Éternelle et faire qu’elle devienne le centre de l’activité de l’Opus Dei et de son expansion apostolique dans le monde. En ces années romaines, son intense amour des Italiens et de l’Italie.
Un style vif et percutant
Docteur en langues modernes et en théologie, est l’auteur de l’édition bilingue de Chemin. "Le livre nous parle beaucoup de lui, surtout par la merveilleuse expressivité de son style. Très souvent, on note que l’auteur a changé l’ordre logique des mots pour faire que son lecteur plonge au plus profond de son cœur."
Pas de quoi d’être triste
Pierluigi Bartolomei, professeur de l'école de formation du Centre Elis, Rome
Africains responsables
L’Afrique, comme nous le savons par les informations ou par notre vécu quotidien, doit surmonter de sérieux obstacles: la mauvaise gouvernance, la faim, la pauvreté, les maladies ou la corruption, pour n’en citer que quelques uns. C’est donc à nous, Africains, qu’il revient de déraciner ces maux, en nous y employant à fond.
L'amour du Pape
“L’amour pour le pontife romain doit être, chez nous, une belle passion, parce qu’en lui nous voyons le Christ” Saint Josémaria, ‘Aimer l’Église ’
Sur le message de l'Opus Dei
Certains ont parfois soutenu que l'organisation interne de l’Opus Dei était celle des sociétés secrètes. Que faut-il penser d'une telle affirmation ?
Un donateur anonyme
Elles m’ont raconté qu’un étranger, dont elles ne savent ni le nom ni la nationalité, était venu il y a quelque temps et avait offert ce terrain à la condition explicite que l’on s’en serve pour bâtir une église dédiée à saint Josémaria, dans une zone d’Atizapan, habitée par des familles aux faibles revenus.
Séjours de saint Josémaria en France
Saint Josémaria a très souvent traversé la France lorsqu’il se rendait d’un pays à l’autre, en voiture, avec don Alvaro del Portillo et don Xavier Echevarria. Il est venu chez nous au moins vingt-deux fois, vingt-trois, si l’on ajoute son bref séjour à Saint-Gaudens et Lourdes, à la fin de sa traversée des Pyrénées durant la guerre, en décembre 1937. Le 7 octobre 1951, il alla de nouveau prier au sanctuaire de Lourdes, alors qu’il n’y avait pas encore de centre de l’Opus Dei dans notre pays.
Il avait hérité des Français sa passion pour la liberté
Le fondateur de l’Opus Dei avait un grand cœur, il avait très spécialement montré son amour de la France. Il m’avait confié que le quart de son sang était français, du côté de l’un de ses grands-pères. Puis il me dit qu’il avait probablement hérité de ses ancêtres français sa passion pour la liberté. Je savais aussi que Paris était l’une des deux villes auxquelles il avait pensé pour l’expansion du travail apostolique de l’Opus Dei dès 1935-36 que la guerre civile espagnole et la seconde guerre mondial