Maria José de los Angeles, Espagne: "J'ai découvert le sens de chaque décision difficile et j'en suis reconnaissante"
Mª José a été agrégée de l'Opus Dei pendant 20 ans et elle a quitté l'Œuvre il y a environ cinq ans. « Bien que cette décision ait été très douloureuse, j'ai été très accompagnée et, bien sûr, très libre. Comme il est beau de penser que chaque vocation a une mission qui transcende le cours du temps », dit-elle.
Sandra, Espagne : "J'ai vécu 22 ans convaincue que Dieu n'existait pas"
Sandra n'avait pas la foi lorsqu'elle a mis les pieds pour la première fois dans un centre de l'Œuvre, où elle était invitée par une amie. Aujourd'hui, quinze ans plus tard, elle est agrégée et raconte le processus de sa rencontre avec Dieu, en qui elle a vu un Père.
Laura, Espagne : "J'ai été numéraire pendant 25 ans. Je ne considère pas ces années comme perdues."
Laura, médecin à Barcelone, a été numéraire de l’Opus Dei pendant 25 ans. En 2020, après un long processus de réflexion, elle a décidé de quitter l’Œuvre. « Le bilan est positif, sans aucun doute. Je ne considère absolument pas que ce soient des années perdues », affirme-t-elle, soulignant la formation qu’elle a reçue, le fait d’avoir rencontré énormément de personnes et d’avoir appris à vivre les vertus avec naturel.
Exhortation apostolique, Redemptoris Custos
Redemptoris Custos (Le Gardien du Rédempteur) de Saint Jean-Paul II, publiée en 1989 et dédiée à Saint Joseph, met en lumière son importance auprès de Jésus et de la Vierge Marie. Elle souligne sa mission de père nourricier, protecteur et modèle de foi et de travail humble, invitant les fidèles à imiter sa fidélité, son obéissance et sa proximité avec Dieu.
Méditation audio : La lumière qui se révèle aux nations
Moment de prière à partir de l'évangile de la fête de la présentation du Seigneur au Temple.
Sur les pas de Saint Joseph…
Alors que nous entamons notre chemin vers la fête de Saint Joseph, jalonné par les 7 dimanches qui nous séparent encore du 19 mars, nous vous proposons quelques textes et vidéos pour apprendre à mieux connaître le patron de l’Église universelle.
Mariana, Argentine : «J’ai connu l’Opus Dei grâce à une personne qui n’a pas continué dans l’Œuvre»
Mariana est originaire de la province de Buenos Aires, mais elle a vécu pendant 13 ans dans trois pays d’Europe : « J’ai rencontré un grand nombre de personnes aux mentalités et aux façons d’être très diverses », affirme-t-elle. « Cela m’a permis d’apprendre d’autres modes de vie et d’élargir ma perspective. » Son choix de vie en tant que numéraire auxiliaire de l’Opus Dei lui a également permis de rencontrer encore plus de personnes et de faire une place dans son cœur à beaucoup d’autres.
Ilona, Finlande : "J'aime me considérer comme quelqu'un ayant du "sisu"."
Sisu est un mot finlandais qui se traduit par persévérance, courage ou détermination. Ilona en est un excellent exemple : née dans un pays où les catholiques sont minoritaires, elle rêve de changer le monde grâce à son travail universitaire. « J’aborde la polarisation d’un point de vue statistique, avec des données. Tout n’est pas noir ou blanc », dit-elle.
Pedro, Argentine : « J’ai été numéraire et je ne changerais rien à mon parcours »
Pedro est architecte, spécialisé dans les ONG. Il poursuit actuellement un master en économie urbaine. En mai, il épousera Ine. Son chemin de discernement vocationnel l’a rapproché de l’Opus Dei, institution à laquelle il a appartenu pendant quelques années et dont il garde un souvenir plein de reconnaissance : « Je ne regrette pas d’être celui que je suis aujourd’hui, et je suis ce que je suis grâce à tout le chemin que j’ai parcouru », affirme-t-il.
Conclusion des assemblées régionales : famille, travail et formation pour la mission
Les Assemblées régionales de l’Opus Dei se sont tenues en 2024. Elles ont réuni des milliers de personnes dans presque 70 pays sur le thème « En route vers le centenaire de l’Œuvre ». Les documents rassemblés serviront à préparer le Congrès général ordinaire de 2025 qui aura lieu en avril et mai.