La bonne politique est au service de la paix
Message du Pape François pour la Journée Mondiale de la Paix 2019 (1er janvier)
Quitter le brouillard
Fausta, Italienne résidant à Lugano, en Suisse, mariée, mère de neuf enfants, parle ici du combat qu’elle a mené dans les années soixante pour sortir du confusionnisme ambiant et découvrir la liberté authentique.
Un anticléricalisme « bon »
Entretien avec Monseigneur Fernando Ocariz, vicaire général de l'Opus Dei, sur la relation du chrétien avec la politique d'après Josémaria Escrivá de Balaguer.
Conscience chrétienne et culture politique
Voici l’exposé "Conscience chrétienne et culture politique dans les enseignements de saint Josémaria Escriva de Balaguer" que mgr Angel Rodriguez Luño, doyen de la faculté de Théologie de l’Université Pontificale de la Sainte-Croix, à Rome, a fait à l’occasion des 46èmes journées des Questions Pastorales, célébrées à Castelldaura, en Espagne, le 25 et 26 janvier 2011.
Presentation
Avec le soutien du Centre de Documentation et d’Études Josémaria Escriva de Balaguer (CEDEJ), José Maria Cejas répond à une série de questions historiques sur la vie du fondateur de l’Opus Dei et de sa famille, sur l’origine de l’Opus Dei, sur le contexte politique et social où l’Opus Dei s’est développé à ses débuts, sur l’attitude de Josémaria Escriva face à la guerre civile espagnole, sur Franco et sur de nombreuses autres questions.
Quelle était la pensée politique des premiers membres de l’Opus Dei?
C’étaient, pour la plupart, de jeunes étudiants dans toutes les branches, issus de toutes les régions et aux tendances et aux sensibilités politiques très différentes.
Quelle fut l’attitude du fondateur face à la Seconde République ?
Le fondateur de l’Opus Dei adopta face à la IIème République une attitude semblable à celle de nombreux Espagnols de l’époque, aux différentes sensibilités.