«Dieu nous écoute toujours» Barcelone, 16 juillet

Mgr Fernando Ocáriz s’est recueilli à la crypte de la Vénérable Montse Grases, dans la chapelle Sainte-Marie de Bonaigua ainsi que devant la dépouille de José Maria Hernandez Garnica, en l’église Sainte-Marie de Montalegre. Il a reçu des familles, s’est rendu au chevet de quelques malades et, rappelé, dans une réunion avec des personnes de l’Opus Dei, que « Dieu nous écoute toujours ».

16 JUILLET 2017

Journées précédentes du voyage pastoral de mgr Ocariz à Barcelone :

15 juillet

14 juillet

À la crypte de la chapelle Sainte-Marie de Bonaigua, Mgr Fernando Ocariz s’est recueilli durant quelques minutes devant la dépouille de Montse Grases, récemment déclarée Vénérable par le pape François. Il s’est entretenu ensuite avec plusieurs amies de jeunesse de Montse.

Il est aussi allé se recueillir devant la dépouille José Maria Hernandez Garnica, l’un des trois premiers prêtres de l’Œuvre, qui repose en l’église Sainte-Marie de Montalegre. Le prélat a rencontré les personnes attachées à le faire connaître et à répandre sa dévotion ainsi que les responsables de l’action sociale de la paroisse, accompagnés de leurs familles.

Faire face aux difficultés du quotidien

Lors d’une réunion avec des personnes de l’Opus Dei, mgr Ocariz les a encouragées à prier davantage : « Nous devons en être convaincus, parce que c’est vrai, que Dieu nous écoute toujours et que rien ne se perd ». Il a abondé dans ce sens en citant Saint Paul : « Joyeux dans l’espérance et persévérants dans la prière »

Quelqu’un tenait à mieux aider le pape François et le prélat lui a rappelé que nous avons toujours notre prière à portée de main et que tout chrétien est tenu de prier pour le pape, ce qu’il n’arrête jamais de demander explicitement.

Mgr Fernando Ocariz a passé un bon moment avec Joachim, touché par une sclérose multiple.

Par ailleurs, un professeur lui a parlé sa difficulté à concilier au quotidien son activité familiale, professionnelle et apostolique. Avec plusieurs adolescents, sa maison ressemble plutôt à un champ de bataille qu’à un « foyer lumineux et joyeux » (expression dont se servait saint Josémaria pour décrire l’ambiance à retrouver chez une famille chrétienne). « Serait-ce que je m’y prends mal, Père ? » lui a-t-il demandé, plein d’humour. Le prélat lui a rappelé qu’il est essentiel de ne pas stresser, de parer au présent et de veiller à l’ordre.

Instant de la rencontre avec mgr Ocariz

La ligne de fond de ce colloque fut l'intérêt pour les autres. « Il est nécessaire qu’il y ait des familles qui aident d’autres familles », a-t-il insisté.